Monday, January 20, 2014

La ville de London en Ontario envisage le permis plutôt qu’une interdiction




L’automne dernier, la ville de London a examiné une motion visant à interdire la vente de chiens et de chats dans les animaleries. Paul Unrau de l’animalerie Southwestern Pet, un membre de PIJAC Canada, nous a approchés en septembre durant le salon national pour demander conseil. Avec l’aide de notre trousse d’outils pour les municipalités, Paul a fait une présentation détaillée, afin d’établir des liens importants avec le personnel de la municipalité de London. Il a également présenté ces gens à PIJAC Canada, nous permettant ainsi un meilleur accès avec la ville grâce aux moyens législatifs dont nous disposons à leur égard. Un autre membre, Margaret Rubio de Pet Paradise de London a également écrit une lettre détaillée à la ville qui incluait des faits et des chiffres fournis dans la trousse d’outils pour les municipalités. Ces deux membres ont aussi approché les conseillers municipaux pour discuter de la question. En travaillant en tant qu’équipe unie, avec les membres qui ont pris l’initiative, nous avons eu des conversations productives avec la ville.  




En conséquence, le Conseil municipal acceptait récemment le rapport du personnel qui recommandait à l’administration municipale de consulter PIJAC Canada, l’OSPCAA et les membres de leur comité consultatif de protection des animaux de compagnie sur les permis à décerner aux animaleries, et l’interdiction de la vente des animaux de compagnie dans les marchés aux puces. Une démarche proactive qui, nous l’espérons, va inspirer d’autres villes.
  


Nous tenons à féliciter nos membres de London pour leur expertise dans ce dossier. Grâce à ces gens qui suivent le pouls de l’industrie, nous arrivons ensemble à faire valoir notre point de vue dans l’ensemble du Canada.  Il est également intéressant de souligner que Southwestern Pets n’offre pas de chiens dans son animalerie, mais que cette entreprise était prête à aborder la question avec la municipalité parce que Paul comprend que les familles doivent être en mesure de trouver des animaux sains facilement, de même qu’elles doivent avoir accès à des professionnels qui sont en mesure de fournir un soutien et des soins de qualité pour toute la durée de vie de cet animal. 

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