Monday, October 6, 2014

SOMMAIRE EXÉCUTIF AGA 2014 PIJAC CANADA





ASSEMBLÉE G.N.RALE ANNUELLE DE PIJAC CANADA


SOMMAIRE EXÉCUTIF ASSOCIATION 2014




Ce rapport vous offre un aperçu du travail effectué depuis la dernière assemblée générale annuelle des membres. Je tins à reconnaître le travail effectué par les membres de notre personnel, de notre conseil et de nos comités. Leur participation et leur engagement a soutenu la position de l’association à titre d’ardent défendeur de l’industrie canadienne des animaux de compagnie.



Allons de l’avant


Notre association est en voie d’atteindre les objectifs décrits dans notre plan stratégique actuel. Ces efforts seront maintenus dans le prochain plan stratégique, dont le lancement est prévu en janvier 2015. De  nouvelles activités sont prévues pour atteindre les objectifs clés de l’association. PIJAC Canada continuera à accroître sa présence dans les medias sociaux et à mettre en œuvre des stratégies qui profiteront à ses membres et qui joueront un rôle clé dans la création d’une industrie des animaux de compagnie plus coopérative.



Au cours des douze derniers mois, PIJAC Canada a concentré ses efforts dans les sphères suivantes : la promotion d’une expérience positive avec les animaux de compagnie, le soutien aux membres et la gouvernance.



Promotion d’une expérience positive avec les animaux de compagnie


PIJAC Canada co-préside un groupe de travail qui se rencontre pour discuter des façons de coopérer pour promouvoir l’incroyable expérience que nous fait vivre un animal de compagnie. Tous les membres de l’industrie peuvent profiter de cette conversation. PIJAC Canada mène la charge pour identifier ce qui constitue une expérience positive avec un animal de compagnie et aussi d’établir les limites de cette expérience. La question sera étudiée à l’International Summit for Urban Animal Strategies en octobre.



Soutien aux membres


Sur le plan international, PIJAC Canada a participé au troisième congrès annuel Top 2 Top en avril. Organisé par PIJAC USA, cet événement nous a permis d’échanger avec nos voisins américains sur des questions qui nous concernent. Les présentations qui ont retenu l’attention traçaient un portrait de la nouvelle génération des propriétaires d’animaux de compagnie, des méthodes efficaces de lobbying, des meilleures pratiques de gestion de l’élevage basées sur la recherche scientifique, de relations médiatiques efficaces, ainsi qu’un portrait de l’industrie américaine des animaux de compagnie.



En mai, PIJAC Canada a pris part à une rencontre internationale des associations de l’industrie des animaux de compagnie, tenue lors d’InterZoo, en Allemagne, et a participé en juin à une rencontre du SBSTTA, un groupe de travail issu de la Convention sur la diversité biologique (CDB).



PIJAC Canada, en compagnie du PIJAC USA et de l’OATA (Ornamental Aquatic Trade Association), a participé à cette dernière rencontre du SBSTTA, à Montréal, avec l’objectif de montrer ce que l’industrie des animaux de compagnie fait sur le plan international pour remédier au problème des espèces exotiques envahissantes. Dans une suite logique à ses efforts, nous avons effectué le lancement officiel de notre site web mis à jour (www.habitattitude.ca) lors de nos salons du mois d’août et du mois de septembre.



Sur le plan national, PIJAC Canada entretient des liens étroits avec l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA), le ministère de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire (AAC) et l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) afin de tenir nos membres au courant des changements de réglementation à venir ou des initiatives gouvernementales qui pourraient avoir un impact sur leur commerce. Parmi les dossiers qui sont scrutés à la loupe, il faut compter les changements possibles à la politique du gouvernement en matière d’importation de nourriture pour animaux de compagnie, des opportunités de financement pour les entreprises canadiennes d’exportation et d’une contamination possible à la salmonelle causée par des reptiles de compagnie et les rongeurs servant à leur alimentation.



PIJAC Canada collabore avec l’Agence de la santé publique du Canada afin de formuler un message approprié pour réagir aux deux cas de salmonelles liés aux reptiles de compagnie et aux rongeurs servant à leur alimentation. L’accent sera mis sur la promotion des pratiques de manutention hygiéniques et des mesures nécessaires pour que ces renseignements atteignent les marchés cibles. 



PIJAC Canada a effectué les changements nécessaires pour se conformer à la nouvelle loi fédérale anti-pourriel avant qu’elle n’entre en vigueur, en juin 2014. Nous avons investi beaucoup de temps et d’efforts afin d’assurer la conformité de notre association avec la nouvelle loi. PIJAC Canada a aussi pris en charge la responsabilité d’informer les membres, de les encourager à consulter la loi pour vérifier si elle a un impact sur leur commerce.



À l’échelle provinciale, au Québec, l’amendement au règlement sur la santé et le bien-être des chiens et des chats est entré en vigueur à la fin de l’année 2013. Cet amendement a permis la mise en œuvre d’un régime de permis pour certains types de commerces d’animaux de compagnie. Ce règlement décrit les critères spécifiques pour la livraison de ces permis. PIJAC Canada a orienté ses membres en prévision de la date de lancement du 7 mars 2014.



PIJAC Canada maintient son engagement auprès du groupe provincial de défense des animaux et siège au conseil provisoire de la toute nouvelle Fondation du Bien-être Animal (Fondation BEA).



En Ontario, PIJAC Canada maintient ses efforts pour contribuer à l’exercice de révision du règlement ontarien sur les animaux exotiques. Notre plus récente rencontre avec le ministre Naqvi nous porte à croire que les choses sont sur le point de bouger dans ce dossier.



Dans le Canada Atlantique, les représentants des gouvernements de toutes les provinces de l’Atlantique ont demandé une révision de leur réglementation sur les animaux exotiques. Le Nouveau-Brunswick est sur le point de mettre en œuvre un nouvel exercice provincial. Le PIJAC continue d’évaluer la situation. Nous avons demandé d’être inclus dans le processus de consultation.



À l’échelle municipale, plusieurs municipalités ont adopté un règlement qui restreint la vente de chiens et de chats dans les animaleries. La majorité des municipalités qui ont adopté de tels règlements sont celles qui ne comptent pas de tels commerces.



Dès qu’il connait les intentions des municipalités, PIJAC Canada communique avec elles et leur fournit des informations pertinentes qui appuient notre position sur la question. PIJAC Canada offre de l’aide et du soutien à ses membres avec de l’aide à la rédaction de lettres, de la consultation, de l’assistance et de la communication. Nous comptons sur nos membres pour nous aviser lorsque de telles actions se produisent dans leur ville et nous leur offrons notre boîte à outils nouvellement conçue, à titre de ressource pour les aider à organiser leurs actions sur le plan local. Le travail sur le terrain est essentiel pour conscientiser les décideurs sur cette importante question.



De nombreuses autres municipalités sont en train de réviser leur propre situation et de décider si une telle orientation est nécessaire. PIJAC Canada et l’OSPCA collaborent dans ce dossier, en faisant la promotion d’une lettre collective adressée aux municipalités, qui leur explique pourquoi l’interdiction des ventes est une approche qui ne peut résoudre ce type de problème.



Gouvernance

Au cours de la dernière année, l’élaboration des meilleures pratiques de gestion des animaleries nous a tenus particulièrement occupés. Le document fait actuellement  l’objet d’une évaluation des pairs et nous visons toujours un lancement en 2015.



PIJAC Canada tient aussi à s’assurer ce que ses activités, ses procédures, ses politiques et ses prises de position se conforment avec le nouveau règlement administratif général. Nos deux premières tâches consisteront à mettre à jour le processus d’élections pour le Conseil et de réviser les procédures pour les différents secteurs.



Une attention toute particulière sera aussi accordée à la structure administrative de l’association afin de répondre aux besoins changeants de nos membres et afin d’améliorer notre efficacité.




Louis McCann,

Président directeur général



Septembre 2014

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